Brumyyyy 8D !!! ||UC||

Ils ont dut le comprendre Elise, tu es bisexuelle. Pour toi, il n'y a pas de différence. Ni de couleur de peau, ni d'origine, ni d'orientation sexuelle. Pour toi, tout le monde à sa part de bonté et de gentillesse en soi, après certaine personnes décide de ne pas la laissé paraître, et c'est leur choix, et tu le réspecte. Sinon que puis-je leur dire sur toi? Tu es douce, et gentille. Ta générosité n'as pas de fin, et tu aimes porté secours aux autres. Tu as un caractère de battante, à cause de ta fugue à tes 16 ans qui t'as rendue aussi plus mature que tu ne l'étais déjà , te faisant battre part tes parents. A croire qu'ils n'ont pas vus leur chance d'avoir une fille aussi gentille et intelligente que toi. Mais bon, leurs mauvais traitement t'on rendue plus ferme et plus sévère, mais tu as su prendre la vie du bon côté après avoir ratée une tentative de suicide. Pourquoi tu avait tentée le suicide? Bah tes amis ont été dégoûtée de toi à cause de ta bissexualité, tes parents t'on foutue à la porte. Y as de quoi être déprimée non? Bref. Tu as repris goût à la vie après avoir compris à quelle point elle était précieuse. Au fond de toi, tu garde toujours une envie de te couper les veines, mais tu arrive à te contrôler.

Elise, tu es plutôt jolie. Jolie, mais simple. De beaux cheveux noir de jais, aux reflets légèrement bleuté, tombent en cascade jusqu'à tes longues jambes et encadrent ton gracieux visage.Tes jambes sont longues fines et souple et grâce à elles tu peut marcher avec la légèreté et la beauté d'une biche. Des lèvres pulpeuses couleur pétale de rose. Passons à la partie la plus fascinante de ton corps. Tes yeux. Ceux-ci ont une couleur peu commune. L'un est bleu, bleu tel l'océan par dessus lequel se reflette le ciel, tandis que l'autre est vert, vert comme l'émeraude la plus chatoyante qui puisse exister. Vous comprenez pourquoi je disait que ses yeux ne sont pas communes? Dans votre vie, combien de fois avez-vous vus des personnes avec des yeux semblable? Répondez en toute honnêteté. Pas plus de trois fois. Tu as une forte euuum.. poitrine. Cependant, tu as de ton côté turc le teint mat, bronzé. Ta peau prend bien le soleil. En quelques mot tu es jolie, mais pas une bombe non plus. Quoi?! Non pose ce couteau tout de suite et descend de ce rebord de fenêtre! on je vous laisse elle est au bord de la fenêtre, rendez-vous à son histoire!

Deseperate...

Une ombre te tira les cheveux tandis qu'une autre de ruait de coup. Ils te hurlaient dessus avec haine. Toi, tu te contentais de te laisser faire comme une poupée de chiffons, tandis que tes larmes roulaient sur tes joues. Pourquoi ils te frappaient? Parce que tu étais une bisexuelle. Et ces personnes qui te battaient, tu les connaissaient très bien, c'était tes parents. Tu leur avait annoncé il y a une semaine, et depuis ils te battaient tout les soirs, en te disant que tu n'étais plus leur fille que tu leur faisait honte et que désormais ils avaient tout les droits sur toi. Tout d'un coup, la pluie de coup de ceinture s’arrêta, les ombres disparurent et la porte claqua. Tu sentis un liquide chaud couler sur ton front. Tu passa ta main, et la mis devant tes yeux vairons. Du sang. Le dos voûté, comme ci tu portais le monde sur tes épaules, tu te dirigea vers le lavabo de qui se trouvait dans ta chambre, et te nettoya le front. Oui aujourd'hui, c'était le bon moment, tes parents venaient juste de sortir chez des amis, tu le savais. Tu te passa de l'eau fraîche sur tes bras plein d'hématome. Avec empressement, tu sortis un sac et y fourra tout ce que tu pouvait. Argent, nourriture et vêtement.Après tout, tu avait dix-huit ans, tu étais libre. Tu ouvras doucement la porte, et descendis les escalier sur la pointe des pieds. Tu enfilas tes chaussures et voulus ouvrir la porte, mais elle resta fermée. Les larmes se remirent à rouler sur tes joues avec rage, et tu remontas dans ta chambre. Si près du but! Un sifflotement léger te sortit de tes pensée. Une colombe, l'oiseau de la paix, blanche comme neige, te regardait. On dirait qu'elle te faisait signe. Mais oui! La fenêtre! Tes parents n'y avaient pas pensé! Tu pris ton sac, te nettoya pour ne pas avoir l'air d'une fille tout juste sortie de la morgue, et descendis par la fenêtre.

Liberty...

Tu attéris avec la grâce d'un chat sur le sol. Tu regardas le ciel, bleu et apaisant. Cela faisait une semaine que tu ne l'vais pas vus, et n'avait pas sentis le vent dans tes longs cheveux d'ébènes. Heureusement, tu savais ou te diriger. Tes parents ne t'avaient pas repris ton portable, et tu avais garder contact avec quelques amies. Elles avaient fais des recherche pour toi, et t'avais préparer un moyen de transport. Elles s'étaient concertée, et t'avaient dénichée une moto à bas-prix. Un soir, elles étaient arrivé à ta fenêtre, et t'avaient fait part de leur plans. Sans hésiter,tu leur avaient donnée tes économies pour qu'elles puissent l'acheter pour toi. Elles t'avaient ensuite dit par SMS de sortir dès qu'elles pouvait et de les rejoindre chez Léa, l'une de tes amies. Tu lui envoyas vite-fais un message, et elle te répondit dans la minute qui suivit, de la rejoindre chez elle. Par chance, elle n'habitait pas très loins, et une demi-heure plus tard tu arrivas à sa porte. Ce fus elle qui t(ouvris. Ses beau yeux clairs t'avaient manquée, et elle te serras avec affection dans ses bras. Elle te dirigea ensuite dans son garage, et te tendis des clé, en te désignant une magnifique petite moto noire avec un casque assortis. Tu lui sautas dans les bras et l'embrassas sur la joue. Elle te parlas d'une ville, Gay Town, ou tout Bisexuels,Transsexuels et Homosexuels pouvaient vivre en paix. Elle te montra le chemin. Par chance, cette ville se trouvait seulement à deux heure d'ici, tu pourrait l'atteindre en une journée seulement! Ravie tu la serras fort dans ses bras tout en lui faisant promettre de garder contact, et disparut dans un vrombissement.

Voici son histoire. La suite, vous la connaissez.